L'électroculture et la géobiologie sont deux domaines distincts, mais ils partagent un intérêt commun pour les interactions entre les champs énergétiques et les organismes vivants, notamment les plantes. 

L'électroculture se concentre sur l'utilisation de champs électriques pour influencer la croissance des plantes. En appliquant des courants électriques de faible intensité, l'électroculture vise à stimuler le métabolisme végétal, améliorant ainsi la photosynthèse, la nutrition des plantes et leur résistance aux maladies. L'objectif premier était d'optimiser les rendements agricoles de manière durable, aujourd’hui nous allons plus loin en parlant de l’ensemble du Vivant qui se trouve stimulé.

Rejoignez-nous dans cette aventure passionnante où la technologie rencontre la nature pour créer un équilibre harmonieux.

Transformez votre approche agricole avec l'électroculture et cultivez un avenir durable, productif, et respectueux de la planète.

La géobiologie, c'est quoi? 

Le mot « géobiologie » résulte de l’association de trois mots grecs (Gé: la Terre; bios: la vie; logos: science ou étude).

La géobiologie est basée sur l'idée que la Terre est un organisme vivant avec des énergies subtiles qui interagissent avec les êtres vivants. Cette discipline explore comment ces énergies, telles que les lignes géomagnétiques, les courants d'eau souterrains et les failles telluriques, peuvent influencer notre bien-être physique, émotionnel et spirituel.

Le travail du géobiologue est d’écouter les fréquences ou vibrations dissonantes émises par notre lieu de vie , de travail ou de jardin. De comprendre leurs messages et d’apporter l’apaisement nécessaire. En d’autres termes, imaginez un orchestre où chaque musicien joue sa propre partition sans écouter les autres. Je vous laisse imaginer la cacophonie. 

Le géobiologue doit se positionner comme un chef d’orchestre. Il remet de la cohérence, de l’écoute, du respect et de l’harmonie.

 la géobiologie apporte véritablement une valeur ajoutée à l'électroculture.

Plus d'infos sur la geobiologie ici et ici